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 the worst possible kind of future

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Math

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MessageSujet: the worst possible kind of future   the worst possible kind of future EmptyDim 31 Mai - 17:45

if there's a fork in the road, you should pick which one to go
nom ▬ Hinata
prénom ▬ Misaki
sexe ▬ ici
surnom ▬ Misa (et à vous de voir idk)
âge ▬ 17 ans
date de naissance ▬ 13/02
orientation sexuelle ▬ hétéro
groupe sanguin ▬ B
occupation ▬ lycéenne / mangaka
groupe ▬ solitaire
linking eyes ▬ permet de communiquer par la pensée avec un autre possesseur de capacité
cause de mort ▬  ici

__________

prénom/pseudo ▬ math, misa
âge ▬ 16
sexe/genre ▬ ici
comment as-tu connu le forum? ▬ chais plus
comment tu le trouves? ▬ toujours cool
doubles comptes? ▬ beaucoup
faceclaim/avatar ▬ ça dépend, souvent Shiori Kanzaki - Kirisame ga Furu Mori (ou Shiratsuyu - Kancolle)
autre ▬ oh une fiche bien réécrite, c'bo
Parce qu'il est bien difficile de le dire autrement, Misaki c'est une personne bien compliquée, le genre dont on ne cesse jamais de se demander comment elles fonctionnent au final, ou encore si derrière leurs actions se trouve une quelconque logique. Car c'est peut-être là le premier point à mettre en valeur quand on parle de la demoiselle. Le hasard, le fait qu'elle ne suive pas de chemin si ce n'est le sien. Misaki c'est un oiseau épris de liberté, qui vogue selon des vents aléatoires.

Parce qu'il n'y a aucune logique chez Misaki, alors autant de pas en chercher. Misaki, elle vit simplement pour vivre, parce que de son point de vue, une vie ce n'est pas très long, alors autant en profiter et ne pas être restreint par des règles sans valeurs. Un léger esprit rebelle n'est-il pas. Ce qui n'est pas faux, la brunette aime aller à l'encontre des règles, à l'encontre de ce qu'on lui dit de faire, juste parce qu'elle n'aime pas qu'on lui donne des ordres, parce qu'elle a l'impression qu'on la rabaisse de cette façon. Notamment à cause de sa taille, même si c'est assez ridicule à dire. Quand on est aussi grande gueule que la brunette et qu'on atteint même pas 1m50, on prend très facilement les choses dans les mauvais sens voyez-vous.

Parce qu'elle a un peu un ego surdimensionné face à sa petite taille cette jeune fille, utilisant le "je" à tord et à travers, n'hésitant pas vraiment à se mettre en avant face au reste. Manque d'humilité et la sensation d'être mieux que beaucoup de ses semblables et ce malgré ce complexe face à son retard de croissance presque ridicule. Et elle en ira jusqu'à se montrer hautaine avec beaucoup, surtout ceux qui parlent dans son dos, un fait qu'elle ne supporte d'ailleurs pas. Misaki est une menteuse, mais Misaki ne supporte pas qu'on lui cache la vérité et qu'on refuse d'être honnête et de lui exposer les faits en bonne et due forme. Parce qu'elle est égoïste, trop pour être appréciable. Et on lui reproche souvent de trop rapprocher tout à sa petite personne, mais la demoiselle s'en soucie peu : il y a elle, et le reste, et c'est tout ce qui importe.

Une personne bien désagréable qu'on voit apparaître là. Et pourtant, elle n'est pas si méchante Misaki, elle est même loin de l'être. Il lui faut juste un peu de temps pour se révéler et accorder sa confiance. Parce que Misaki a peur, et ne sait pas quoi faire pour remédier à ce désagréable sentiment. Elle a peur de décevoir, peur d'être mise et côté, peur d'être oubliée. Et donc peur des relations en général, peur de la relation de cause à effet, et ne s’intéressant pas plus que ça à son entourage pour cette simple raison, préférant adopter cette façade détestable et dégoulinante d'orgueil. Elle préfère être envieuse des groupes de filles en classes riant pour un rien à une blague, plutôt que blessée par des amis, et ce genre de choses. Et pourtant, elle est sociable, elle parle facilement à u peu tout le monde, sans trop de honte.

Un peu solitaire dans l'âme pour cette raison, Misaki, elle est néanmoins vraiment heureuse quand elle arrive à se faire un vrai ami, du genre qui ne la laissera pas tomber. Au point de se montrer presque possessive, et de pester quand quelqu'un s'incruste dans une conversation qu'elle tenait avec un proche. Et pour ses amis, Misaki adopte un comportement vraiment différent, abandonnant l'avantageux égoïsme pour faire de son mieux pour se rendre utile. Dire qu'elle ferait n'importe quoi pour eux n'est pas vrai, mais la demoiselle n'hésitera pas à faire ce qui est en son pouvoir, quitte à se salir légèrement les mains.
Et il n'y a qu'avec ce genre de personne que la brunette laissera apparaître son vrai sourire, sa vraie personnalité, enjouée et enthousiaste, petit rayon de soleil dans un monde bien terne.

Sinon, Misaki c'est une personne active, elle a du mal à rester en place à ne rien faire, et c'est surement pour cela qu'elle passe son temps à sécher les cours. Il n'y a rien de vraiment intéressant dans le fait de rester assis des heures et des heures dans une salle de classe à écouter un professeur débiter ce qu'il sait. Et le plus frustrant pour les camarade de la sécheuse, c'est surement de voir qu'elle s'en sort toujours avec des notes qualifiables d'excellentes, se retrouvant par habitude en haut des classements. C'est qu'elle est intelligente cette demoiselle, et surtout qu'en plus de comprendre vites les principes et notions, est vive d'esprit, passant d'une idée à une autre en permanence.

Et ça se retrouve aussi dans ses activités. Misaki, elle est un peu touche à tout, elle aime tester de nouvelles choses un peu tout le temps, simplement pour satisfaire sa curiosité. Parce qu'elle est évidemment bien trop curieuse voir fouineuse, pour satisfaire son propre appétit. Ainsi, arts ou sports, la brunette a touché à beaucoup de domaine, même si aujourd'hui on ne retiendra principalement que le manga. C'était son rêve de pouvoir un jour publier dans un magasine, et voir son oeuvre présente tous les mois dans une de ces revues gonfle son petit cœur d'orgueil. Bon et forcément, elle adore tout ce qui touche au manga, et jette un peu tout son argent dedans, en pleurant après sur le fait de devoir manger des patates tous les jours tant elle est fauchée. Normal. Après quoi, si on lui parle d'un sujet sur lequel elle sait s'exprimer, ou même de quelque chose qu'elle aime, elle va rappliquer vite la Misaki. Comme elle a tendance à ne parler aux gens que si elle juge qu'ils sont intéressants. Ce serait une perte de temps sinon, et elle préfère le perdre à faire des planches ou alors sur internet. Mais il y a quand même de grande chance qu'on la voit contente en parlant de jeux vidéos, de ce qui se passe sur internet, ou encore du dernier gâteau qu'elle a mangé simplement parce que vive le sucre.

Mais Misaki, ça reste une menteuse. Parce qu'il y a beaucoup de choses qu'elle pense, beaucoup de chose qu'elle aimerait dire, mais qu'elle ne dit pas, préférant se cacher encore une fois derrière un sourire. Peut-être qu'elle est hypocrite, et ce ne serait même pas étonnant. Mais la brunette n'y peut rien, la vérité fait peur, le fait d'assumer et d'ouvrir les yeux fait peur, alors elle préfère rester dans le déni. Elle préfère prétendre qu'il ne s'est jamais rien passé. Parce que c'est mieux ainsi, et ça évite de se créer des blessures morales inutiles. Ah, elle est lâche Misaki, de ne même pas vouloir regarder ses erreurs en face, et de les cacher autant qu'elle peut. Parce que d'une certaine façon, elle sait très bien qu'elle arriverait à se détruire à cause de cela, à la façon d'un pressentiment. Aussi, on retrouve ce côté de sa personnalité dans sa facette rêveuse, et adepte des plans sur la comète. Elle sait ce qui se passe, mais ne veut pas l'admettre. Elle connaît ses limites, mais préfère les ignorer. Elle est risible la lycéenne, à ne pas vouloir choisir et continuer d'être indécise encore et toujours, pour une éternité s'il le faut.

Alors gardons simplement la Misaki sociable mais orgueilleuse et égoïste en avant, et oublions la laideur de ce qui se cache derrière ces façades réalisées comme un savant château pour le bien d'une seule personne qui s'entête à fuir la réalité pour le rêve.
1m46 ▲ 38 kg ▲ châtains  ▲ noisette ▲ pâle mais pas affolant ▲ odeur  ▲ gros retard de croissance ▲ du coup on dirait une gamine, et ça l'énerve énormément ▲ mais ne porte pas de talons pour paraître plus grande parce qu'elle a peur de se casser la gueule ▲ même si ce serait bien pour qu'elle soit plus désignée comme une collégienne ▲ ambidextre mais plus habile de la main droite ▲ souvent des tâches d'encre partout, vu qu'elle dessine ▲ et souvent des petites coupures un peu partout, et donc des pansements un peu partout ▲ même si elle a un physique de loli, elle est étonnamment rapide et habile, même si l'endurance et la force physique c'est pas trop ça ▲ s'habille de façon très random ▲ mais préfère les sweat à capuche et les trucs dans les teintes pastels ▲ parfois elle va dans un style sailor lolita aussi, parce qu'elle aime le style seifuku, et ça la rajeunit encore plus ▲ est-ce que j'ai besoin de préciser que c'est la déesse de la poitrine plate


Une silhouette peut être perçu dans la chambre, ou seul un unique rayon de lumière filtre à travers les rideaux, mettant en valeur une jeune demoiselle, encore collégienne en apparence. Sa longue chevelure brune est parfaitement lissée et atteint le bas de son dos, et avec un mouvement de main, elle ramène une des mèches lui encerclant le visage derrière son oreille. Avec un soupir, elle pose ses yeux noisette sur la chambre, un bazar sans nom, ou traîne vêtements par terre, avec cahiers et carnets de dessins, crayons et stylos, mais surtout manga. Un ordinateur portable traîne également dans un coin, et une 3DS non loin. Et sur le lit, quelqu’un toujours endormi, plongé dans de doux songes dont elle ne voudrait jamais sortir. La collégienne attrape fermement les bouts de la couverture, et avec une grande inspiration, tire le tout dans un seul mouvement, pour laisser ensuite la couette par terre.

-Hm, il te reste environ 5 minutes avant d’être en retard, sûre de vouloir dormir ?

Une autre demoiselle se recroqueville sur le lit à cause de la chaleur perdue, avant de se cacher les yeux en gémissant quand celle aux cheveux longs ouvre les rideaux d’un seul coup, un air sévère sur le visage. L’endormie a en effet les cheveux plus courts et aussi davantage châtains que bruns, avec des reflets roux créant une certaine harmonie, et une figure différente mais semblable, plus enfantine et moins sévère. Et dans un mouvement brusque se relève sur le bord du lit, un stress soudain se laisse deviner avec facilité sur son visage, et surtout dans ses grands yeux noisettes. Et la demoiselle se lève soudainement, attrapant un uniforme marin blanc et bleu marine sur un cintre suspendu à une porte de placard, avant de sortir avec précipitation de la pièce pour s’engouffrer dans la salle de bain non loin. Et même derrière la porte verrouillée, sa voix bruyante parvient encore à se faire entendre :

-Je retiens ça Aki ! Le jour ou t’es en retard, j’irai même pas te réveiller !

La dénommée Aki, de son prénom Akiko, ne peut s’empêcher de soupirer face à une telle remarque. Premièrement parce qu’elle et sa sœur savent toutes les deux très bien qu’elle ne sera jamais en retard de cette façon, très ponctuelle sur ce genre de choses, mais aussi car si l’autre avait regardé son réveil ou portable, elle aurait vite vu qu’il lui restait encore du temps avant de commencer à se presser de cette façon. Mais Akiko connaît très bien sa sœur, trop bien même. Elle sait très bien que si elle ne la réveille pas de cette façon, elle flânera, comme d’habitude, et sera véritablement en retard.

Après cette rapide réflexion, la collégienne se décide à descendre les escaliers pour arriver dans le salon connexe à la salle à manger, ou l’attend un petit déjeuner chaud. Salutation pour ses parents qui lui répondent avec un sourire. Sa mère est une personne chaleureuse, aidant comme elle peut les gens autour d’elle, et ainsi appréciée du voisinage. Son père possède une figure moins amicale ainsi cachée derrière ce journal qu’il détaille rapidement, comme tous les matins. Il travaille en ville, dans l'entreprise familiale qu'il a du reprendre, centrée sur l'édition, ou du moins c’est ce que sait Akiko, ne s’intéressant pas plus que ça au monde du travail pour le moment, malgré ce côté responsable qu’on lui donne facilement. Elle finit son analyse matinale en croquant dans une tartine de pain, sa mère amatrice des petits déjeuners occidentaux, et relève la tête quand elle entend les marches de l’escalier craquer légèrement sous le poids de quelqu’un. Sa sœur descend lentement, un air contrarié, qui fait sourire et presque pouffer Akiko, surtout en voyant cette mine déconfite. Visiblement elle a fini par regarder son portable, enfin.

-Très chère sœur, sachez que je vous déteste très cordialemet.
-Oui, oui, comme d’habitude. Dépêche de manger ou je partirai sans toi. Ah, et Misaki, ton ruban est mal mis, comme d’habitude.

Misaki penche sa tête vers le bout de tissu en question, avant de l’arranger rapidement comme elle peut, pas vraiment douée avec ce genre de choses. Et un moment elle regarde la couleur de l’étoffe, bleu, légèrement plus clair que la jupe et le col, un bleu qui signifie troisième et dernière année au collège, avant de partir vers le lycée. D’une certaine façon, ça la rend un peu triste de savoir qu’elle va devoir changer d’école au printemps suivant. Ce n’est que le début de l’été et bientôt les vacances, mais déjà ses pensées sont tournées vers ce sujet. A côté, Akiko et son ruban rouge lui semble avoir l’avenir et l’éternité devant eux, un long chemin à parcourir encore. Elle aime bien le collège Misaki, enfin son collège du moins, même si elle n’écoute pas en cours et sèche assez souvent. Il y a le club de recherches sur les manga, ou elle est vice-présidente, un lieu chaleureux ou on parle de tout et n’importe quoi, devant des gâteaux et soda. Parfois, ils composent ou reprennent également des chansons, une activité que la demoiselle apprécie beaucoup. Ça la rendra triste un temps, mais comme tout, ça lui passera, et elle ne le sait que trop bien.

C’est ici la période que Misaki préfère, chaleureuse, la chaleur d’une famille, simple mais irremplaçable aux yeux de la brunette. Bien sûr, il y en a eu d’autre avant, ce ne serait pas normal sinon. L’enfance de la brunette aura été une belle enfance en général, surtout quand elle compare à ce qu’on voit souvent dans les animes, surtout quand c’est un albinos.

La famille Hinata, ce n’est pas une mauvaise famille après tout, c’est même une bonne voire très bonne famille, même si on trouvera toujours mieux. On peut sans problème associer ce nom avec une stabilité qui ne fera jamais, au grand jamais, défaut. C’est une famille au passé plus brillant, qu’on oublie maintenant,  et dont personne ne se soucie vraiment au final, et surtout pas la petite Misaki. Même des années plus tard, elle retiendra simplement que ses grands-parents étaient très loin d’être pauvres et possédaient un nom bien connu dans le domaine de l’édition. Et même en partageant ces mêmes caractéristiques, la demoiselle n’a jamais vraiment cherché à en savoir plus, de peur de perdre un quotidien apprécié derrière une montagne de détails superflus.

Le couple constituant en une étreinte les parents de la demoiselle, c’est un couple heureux, amant et qu’on verrait difficilement se disputer. Et pourtant, avant l’arrivée de Misaki, ça a souvent été le cas, simplement parce qu’ils n’arrivaient pas à avoir d’enfant. Pas de chance dira-t-on. Ce qui expliquera en toute logique que la jeune fille ait souvent été plus gâtée qu’elle n’aurait dû l’être. Et deux ans plus tard, une autre petite fille nait à son tour, s’accaparant toute l’attention au passage. Née durant l’automne, durant une journée ou les feuilles orangées créent un harmonieux mélange dans le ciel d’un bleu-gris froid, Akiko.

Les premières années de cohabitations entre les deux brunettes furent surement des plus mouvementées surtout pour les parents, crises de jalousie et disputes éclatant quotidiennement entre les deux sœur. Peut-être est-ce là la raison pour laquelle les deux ont construit leur personnalités en opposition, pour ne pas qu’on puisse les associer, et ce malgré quelques points communs. Misaki sera ainsi la sœur extravertie et tout le temps jovial, tandis que sa cadette préfèrera une personnalité plus froide et moins ouverte. On notera juste leur ego aussi présent et surdimensionné d’un côté que de l’autre, qui créera toujours pour les voisins une occasion de doucement rire sur la fougue de la jeunesse.

Et malgré tout, Misaki elle aimerait bien être plus proche de sa sœur, même si elle n’ose pas vraiment lui dire. Des regards parfois dans sa chambre, curieuse sur les devoirs de son reflet à la tignasse plus longue, avant de retourner voir ailleurs, n’écoutant que son orgueil. Stupide réaction, Misaki ne le sait que trop bien, mais il est bien difficile d’enfouir son ego. Et puis, elle lui fait peur sa cadette, et ce très rapidement. Parce qu’Akiko, même en primaire, même jeune, elle semble déjà parfaite. Des bonnes notes, et déjà une demoiselle qu’on pense devenir bien belle plus tard. Quelqu’un qu’on loue pour sa culture et ses connaissances, qu’on compare à l’aînée restée dans sa petite bulle d’immaturité. Misaki ne sait rien faire, Akiko sait peindre, Akiko sait cuisiner, Akiko sait chanter, à croire qu’elle peut tout faire, à croire qu’elle est parfaite. Et peu à peu, la demoiselle a cette impression d'être mise à l'écart, écrasée par la présence de sa soeur plus jeune, mais qu'on considère comme plus douée.

Et c'est ainsi que Misaki commence à tenter de se démarquer, le plus souvent de la mauvaise façon, c'est-à-dire en accumulant les conneries. Et ça ne fait que commencer quand elle entre au collège, période compliquée mais appréciée. Parce que Misaki commence à sécher les cours selon ses envies, même si à la maison elle se fera probablement réprimandé pour ses actions puériles. C'est sa façon pour tenter de fuir face à la perfection.

Mais il y a malgré tout un lieu ou Misaki arrive encore à vraiment sourire, un lieu qu'elle apprécie plus que tout, c'est-à-dire la maison de sa grand-mère. Elle a beau oublier facilement ce qu'on lui dit, elle reste une personne que la brunette adore. Sa grand-mère aussi, elle sait faire plein de choses contrairement à la petite Misaki, mais elle garde quand même des défauts, et son doux sourire empêche la brunette de la comparer à sa cadette. Aussi, bien trop souvent, la demoiselle enfourche un vélo pour aller jusqu'à la vieille bâtisse traditionnelle, pour parler de tout et rien à sa grand-mère. Elle aurait bien aimé parler à son grand-père également, mais Misaki n'a jamais pu le connaître, parti avant qu'elle arrive, et questionner sa grand-mère dessus lui semble être un acte bien cruel quand elle voit la mélancolie dans les yeux de la personne âgée.
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MessageSujet: Re: the worst possible kind of future   the worst possible kind of future EmptyDim 31 Mai - 21:24

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